Retour...Inattendu

BAM!

Aoutch!Ma tête!
Il faudra que j’améliore mon atterrissage,il laisse encore à désirer et que je me plaigne de la dureté des sols.J'étais partie faire une petit voyage au 17 ème siècle à Versailles,histoire d'aller enquiquiner Louis XIV.
Ces derniers temps,je faisais le plus de voyages temporels possible pour noyer ma peine.En vain.M'adossant au mur,je me mis à pleurer,pour la première fois de ma vie.Rien ne sembler pouvoir arrêter le torrent de larmes qui dévalait mes joues.

Le château était immense, impossible de ne pas se perdre dans ce dédalle avant 1 siècle d'année passant ici. Et comme vous l'aurez deviné, je me suis encore perdu dans ces satanés couloirs... Pestant contre ce château, je ne vit que trop tard une jeune fille à la tignasse blonde à mèche rose et lui rentra dedans. Littéralement. La chute me propulsa contre une porte qui, je l'aurais juré, n'étais pas là il y avait deux minutes. Après avoir encaissé la poignée de cette porte, je dévisagea ma "victime". La jeune fille avait les yeux rouges, des larmes restait encore sur ces joues. J'hésitai entre lui paraître sympathique ou alors rester aussi désagréable que je ne le suis avec tout le monde... Choix difficile ! Optant pour la deuxième solution, je lui adressa la parole sans même lui tendre le bras pour l'aider à ce relevé :
- Si j'étais toi, je ne resterais pas par terre, il plus de deux siècles de poussière. Mais tu ne devrai pas pleurer, le sol fait pas si mal ! Faut pas pleurer pour rien...
J'avais aprlé sur un ton froid, réservé et méchant. Une petite voix me disait que cette mystérieuse fille négligé était loind d'être une petite nature...

Non mais qu'est ce qui m'arrive?!Moi pleurer,quelle horreur!Bientôt,je me mettrais à adorer les films gnian-gnian!Alors que je tentai de me ressaisir,un truc non identifié me rentra dedans.
Je me préparai à figer/faire exploser le truc tout en débitant des insultes qui aurait fait rougir le plus grossier des Pirates de l'Air ,on est jamais trop prudente (non,je ne suis pas parano,juste...prévoyante).
- Si j'étais toi, je ne resterais pas par terre, il plus de deux siècles de poussière. Mais tu ne devrai pas pleurer, le sol fait pas si mal ! Faut pas pleurer pour rien...
Gneu?Sa parle?Je dévisageais mon agresseur et manqua de m'étouffer de rire,tellement sa coupe de cheveux était ridicule.

-Oui, je pleure juste par ce que je viens de perdre toute ma famille et que ceux qui sont encore vivants vont être torturé par ma faute et j'ai perdu un de mes pouvoirs et que je suis bloqué dans cette époque constituée d’arriérées et d'abruties congénitales comme celle qui se tient devant moi.Mais c'est rien, tu as raison ,je ne devrais pas pleurer pour ça.Oh,et j'adore ta coupe.

Au moins,j'avais gardé mon ironie.

J'allais débarrassé le plancher aussi vite que j'étais partie quand une autre idée commençait à se former dans mon esprit. Mais celle dans laquelle j'étais rentrée dedans me répondit :
-Oui, je pleure juste par ce que je viens de perdre toute ma famille et que ceux qui sont encore vivants vont être torturé par ma faute et j'ai perdu un de mes pouvoirs et que je suis bloqué dans cette époque constituée d’arriérées et d'abruties congénitales comme celle qui se tient devant moi.Mais c'est rien, tu as raison ,je ne devrais pas pleurer pour ça.Oh,et j'adore ta coupe.
Heiin ?? Pffia, ma coupe est très belle, nan mais je m'en fiche qu'elle l'aime pas... Piqué au vif, je lui déclara sur un ton calme :
- Bon, écoute : avant qu'on se parle plus, on va s'échanger nos nom, histoire que l'on puisse insulter l'autre sans l'appeller "la fille", "cette pouf" et je t'en passe, qu'en dis-tu ? Parce que moi en tout cas ça m'arrangerais vraiment !
Une fois discour fini, je m'aperçu à quel point c'était pathétique... Si seulement je pouvais remonter le temps, elle au moins elle le pouvais.

Elle avait de la répartie,cette fille,elle remonte dans mon estime.

- Bon, écoute : avant qu'on se parle plus, on va s'échanger nos nom, histoire que l'on puisse insulter l'autre sans l'appeller "la fille", "cette pouf" et je t'en passe, qu'en dis-tu ? Parce que moi en tout cas ça m'arrangerais vraiment !

-Faudra vraiment que tu me donne l'adresse de ton coiffeur,que j'aille le complimenté,faut être doué pour rater une coiffure a ce point.Et je suis Alyss Stanford,pour te desservir.répliquais-je avec mépris.



Alors que je m’approchais d'elle pour vérifier que ce n'était pas perruque,au moment ou je la touchais,des images s’installèrent dans mon cerveau,je la voyais à deux ans,découvrant ses pouvoirs,courir après une fille (qui avait la même, couleur ridicule de cheveux) ,enfin bref,je voyais des fragments de son passé.
Mais qu'est ce qui se passe?!

-Faudra vraiment que tu me donne l'adresse de ton coiffeur,que j'aille le complimenté,faut être doué pour rater une coiffure a ce point.Et je suis Alyss Stanford,pour te desservir
Je haussa les sourcils, elle avait vraiment un problème de coiffure...
Puis, elle s'approcha de moi, commença à me regardé, puis, soudain, elle s'arrêta.
Je ne voyais pas vraiment ce qu'Alyss faisait, j'étais plutôt entrain d'explorer mon cerveau ; afin de trouver ce que la jeune fille évoquait...
Non, je n'y arrivais pas... Si ! Ca yest, cette fille, si paumé, à la tignasse incoiffable, et au caractère de cochon avait le même nom que ma Soeur !
Ecartant de la main cette pensée, je revint vers mon combat verbale :
- C'est dommage, tu ne pourra pas la féliciter, c'est Dame Nature... Quand à toi, tu dois être avare pour ne pas prendre la peine d'arranger tes cheveux...
Je souris. Je sentais que minie de rien, on étais semblable.